Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, enfermé depuis plus de deux ans dans l’ambassade d’Équateur à Londres parce qu’il n’accepte pas de se rendre aux autorités suédoises pour répondre aux accusations de viol dont il est soupçonné, pourrait prendre de la graine de la décision de justice prononcée en Suède à l’encontre d’un homme accusé de viol qui vient d’être acquitté parce qu’il souffrait de sexsomnie ! C’est quoi cette souffrance-là ? C’est avoir une relation sexuelle pendant le sommeil sans qu’on s’en souvienne le lendemain. Pratique, non ?!? Condamné en première instance pour viol, rapport non consenti, un Suédois de 26 ans a été acquitté en appel. Motif de la relaxe : l’accusé se trouvait dans un tel état d’endormissement, d’inconscience totale, que son témoignage n’apparaît pas comme aberrant. Un blanc-seing pour les somnambules de tout poil ! Julian Assange est accusé par l’une des femmes qu’il aurait violées, de l’avoir possédée par surprise ! Elle se serait réveillée au milieu d’un coït, Assange la chevauchant sans son consentement. Peut-être dormait-il profondément sans penser à mal ? Il devrait considérer cela avec ses avocats ! Sexsomniaque, c’est moins ronflant que hacker de grands chemins, mais pour ce qui le concerne, en Suède, ça marche !
D’humeur somnambulesque…
21 septembre 2014 | 0 Commentaires